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  • Tout le monde est au courant je pense, le 7 janvier fut un jour terrible ou un attentat ignoble à tué 12 personnes.

    Cet attentat,  a été jugé comme un attentat contre la liberté. Liberté qui est l'une des plus grandes  doctrines de la France puisqu'elle figure dans notre belle devise:

    "Liberté, Égalité, Fraternité".

    Mais, si j'écris cet article ce n'est pas seulement pour vous dire ça, mais pour vous dire avc joie, que les terroristes sont morts, aujourd'hui, le 9 janvier 2015.

    Bien sûr j'aurais préféré qu'ils soient jugés et qu'ils finissent pourrir en prison, mais qu'ils soient morts c'est très bien aussi.

     

    Sur ce, LIBERTÉ!


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  • Commande de Junne : Visiteurs

    Déjà?! Merci beaucoup à tous! >.<


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  • C’est bien ce que je pensais, il s’attendait à ce que je vende la mèche, il pensait qu’il allait me faire craquer et faire en sorte de tous les détruire, mais non ça ne se passera pas comme ça ; la révolution pour la liberté est en marche et personne ne pourra nous en empêcher, eux et moi, nous sommes invincibles.

    15 avril, année 2360, 15 heure 13 :

    Il y a des années les chercheurs et les scientifiques pensaient que 300 ans plus tard, les voitures voleraient, qu’ils auraient trouvé un carburant non-polluant, qu’ils auraient trouvé une nouvelle planète habitable, que quelqu’un aurait découvert ce qu’il s’était passer pendant les  2 minutes de transmission manquantes sur la Lune ; mais non rien de tout ça.

    La différence avec le 21° siècle ? Il existe maintenant 2 catégories ; les « citoyens », les personnes aisées et hautes placées, qui placent leurs enfants dans des écoles hors de prix et éduquent leurs enfants en leur disant qu’ils sont supérieurs à tous ; et les autres, appelés NO NAME, NO NAME représente  ceux qui n’ont pas de noms, pas d’histoire, pas de moyens, pas de rang, et bientôt plus de liberté. Les NO NAME vivent traqués, et se cachent pour échapper à la police, qui tente de les éliminer « pour un monde plus sûr ».  Certains NO NAME ce sont résignés et n’ont plus la force de se battre, mais d’autres, ont cette rage et cette haine de se venger, et de retrouver leur liberté.

    Moi ? Je suis ni une citoyenne, ni une NO NAME. Je vis le jour et la nuit ; le jour je suis lycéenne dans un lycée friqué, et la nuit, je me bats aux cotés des NO NAME pour leur liberté. En dehors des NO NAME, je suis Malorie Parker, fille du colonel Parker, qui se bat contre les NO NAME. Je vis dans une villa, vais en cours et mène la vie de la petite fille parfaite. La nuit je suis Mal’ , la fille qui fait rire les enfants NO NAME, et participe aux mouvements qui permettront un jour d’avoir une liberté pour tous.

    Maintenant, dans notre époque, tout acte de vandalisme, de malfaisance ou d’impolitesse envers une personne du même rang ou supérieur est interdit et est puni par la loi, même pour les plus petits actes tel une joute verbale.

    ♥♦♣♠

    « -L-les « NO NAME » Ils existent vraiment ?! menti je.
    –Evidemment qu’ils existent ! Que croyiez-vous ?! cria-t-il en frappant une nouvelle la table de son poing.
    –J-je pensais que vous parliez de Marie….
    -Marie ?! Qui est-ce ?
      fit il en plissant les yeux.
    – C-c’est une fille de mon lycée, elle s’était moquée de ma note alors je l’ai b-bousculée….C’est bien pour cela que je suis ici, non ? » fis je en levant les yeux vers lui.

    L’homme s’apprêtait à me répondre lorsque la porte s’ouvrit ; un homme grand, blond aux yeux gris, grand et au visage sérieux entra ; mon père. L’homme qui me posait les questions se mit aux garde-à-vous en voyant mon père. Ils sortirent tout deux me laissant une nouvelle fois seule dans cette pièce. Je regardais la caméra posée sur la table, d’ici 5 minutes, je serais sortie.
    L’homme revint et détacha mes menottes.

    « -Vous pouvez sortir, toutes mes excuses pour vous avoir crier dessus, je ne voulais pas vous offenser…
    -C-ce n’est pas grave, vous faisiez votre travaille."
    fis je en rejoignant mon père.

    Nous étions dans la voiture, tous les deux à l’arrière. Le chauffeur nous conduisait à la maison ; le trajet s’effectua dans un silence pesant, c’était souvent comme ça avec mon père nous ne parlions pas beaucoup ; nous nous aimions, je n’en doute pas, mais la communication n’était pas notre fort.
    Nous arrivâmes dans la cours la propriété, le chauffeur s’arrêta devant le portail et laissa entrer quelqu’un, ce quelqu’un, c’était Kentin.

    Kentin était mon meilleur ami depuis toute petite, ses parents travaillaient avec mon père, alors lorsque nous étions petits, il venait à la maison pour ne pas être seul chez lui. Forcément passer tous les soirs ensemble et être dans la même classe créé des liens, et c’est ainsi que nous sommes devenus meilleurs amis.
    Mon père a toujours bien apprécié Kentin, c’est un garçon plutôt mignon, intelligent, bien élevé et plutôt à l’aise avec les gens ; ça ne m’étonnerais qu’à moitié qu’un jour il essaie de me faire sortir avec Kentin. Mais c’est non, bon je l’avoue, Kentin est plutôt beau garçon avec ses cheveux décoiffés bruns, ses grands yeux verts émeraudes, son teint parfait, ses lèvres qui paraissent si douces, ses abdos qui paraissent bien dessinés sous ses t-shirt… Hum, pardon je m’égards. Tout ça pour dire que je ne pourrais jamais sortir avec lui, pourquoi, je ne sais pas, mais je ne pourrais pas.

    Kentin me fit la bise en souriant, puis serra la main de mon père amicalement.

    « -Kentin, quel plaisir de te voir ! fit mon père en souriant et en lui serrant la main.
    -Bonjour Monsieur Parker ! Comment allez-vous ? fit le brun enthousiaste.
    -Si tu savais ! fit il en me fixant.
    -Eumh, Malorie, je suis venue pour faire l’exposer de Science !
    -L’exposée de science ?
    fis je perdue. Quel exposé ?
    -Mais enfin, tu sais bien, l’exposé !
    insista-t-il en me regardant droit dans les yeux.
    -Ah oui c’est vrai, l’exposé de Science, où avas-je la tête ! »

    La discussion s’arrêta ici jusqu’à ce que nous descendions de la voiture. Nous entrâmes dans le hall, mon père se dirigea directement dans son bureau, tandis que Kentin et moi, montâmes les escaliers pour rejoindre ma chambre.
    Je lui dis de m’attendre dans ma chambre le temps que je me change. Il se dirigea vers ma chambre et moi je partis dans la salle de bain. J’enlevai le peu de maquillage que j’avais sur le visage, enleva mon uniforme scolaire et enfila un pull simple noir, jean bleu et une bonne paire de chausson.

    Je rejoignis ma chambre, où j’aperçus Kentin, vautrer sur mon lit en train de jouer sur son portable. Je m’adossais à l’un des murs de ma chambre.

    « - L’exposé de science hein ? fis je en souriant.
    - Oui bon, tu sais bien que je suis mauvais pour les mensonges ! râla-t-il sans quitter son téléphone.
    - Si tu veux, je te laisse en tête à tête avec ton portable. râlais-je à mon tour.
    - Mais non, Malo’, c’est bon ! Je t’écoute, regarde je pose mon téléphone, contente ?
    -Très, merci. Bon qu’est-ce que tu voulais me dire ?
    - Comment tu sais que j’ai quelque chose à te dire ?!
    s’étonna-t-il.
    -Je suis voyante vois-tu ? riais-je. Aller dis. fis je en m’asseyant sur mon lit.
    - En fait, c’est toi qui dois me dire quelque chose ! Qu’est-ce qu’il s’est passé, pourquoi un type de l’armée est venue te voir ?
    - Tu es trop curieux Kentin, je te l’ai déjà dit !
    fis je en croisant les bras.
    - Malo, enfin ! fit il vexé.
    - C’est juste pour Marie, parce que je l’ai poussé tout à l’heure. mentis-je.
    -C’est pour ça ? Mais c’est totalement stupide !
    -Que veux-tu, ce n’est pas moi qui ai fait les règles.
    -C’est quand même stupide, mais bon.


    Nous continuâmes de discuter, puis nous fîmes tous les deux nos devoirs ensembles. Il m’aidait pour mes maths et moi, pour le français. Après avoir terminé, nous avons discuté puis il est rentré chez lui.

    ♥♦♣♠

    15 avril 2360, 18 heure 18 :

    J’étais sortie de chez moi, je m’ennuyais, après avoir réussie à semer les gardes payé par mes parents pour me « surveiller », j’entrais dans une ruelle sombre. Toujours la même, les mêmes trous dans les murs, les mêmes déchets, les mêmes personnes. Mais celle que je cherchais n’était pas là, il fallait donc que j’y ailler moi-même, quelle plaie. Je passais entre les adultes qui commençaient à me connaitre et passa par-dessus le mur qui bloquait ma route. J’étais dans une seconde rue bien plus éclairée, je poussais un carton qui trainait sur le sol et entra dans le trou cachés sous ce carton. Je dévalai une petite pente étroite creusée par l’homme.
    J’arrivai dans une « grotte » je pris plusieurs chemin et une fois le dernier chemin prit, je soulevais une trappe et arrivait au milieu d’une salle. Je remontais ma tête pour sortir du trou lorsque ma tête se cogna.

    « - Qui a mis une table ici ?! criais-je en me massant le crane.
    – Qui est là ?! fit une voix grave.
    –C’est moi imbécile !
    -Mal’ ? Personne ne nous a prévenus que tu venais aujourd’hui !
    -Surprise ! »
      fis je ironiquement.

    La table se fit poussée, et quelqu’un me tendit la main pour sortir du trou. Je m’asseyais sur un fauteuil en soupirant. Je regardais autour de moi, ce soir-là, le QG était plutôt vide, nous devions être une dizaine d’adolescents. Je regardais plus en détails la pièce, plutôt grande, des murs gris, plusieurs tables collées entre elles avec des PC dessus, un coin « salon » avec une table en son centre. Je regardais un peu plus le coin ordinateur, où je vis la personne que je cherchais. Je criais son nom, et je me dirigeais vers lui, car comme d’habitude Môssieur de m’entendais pas, à cause de ses écouteurs. Je mis le volume de ses écouteurs à fond, ce qui le fit hurler.

    « -Non mais ça va pas ?! T’es une grande malade ! Tu veux me rendre sourd c’est ça ?! hurla-t-il en me regardant.
    -Mais non ! fis je en riant.
    -Tu aurais pu me tuer Mal’ ! Ou pire ! Me percer les tympans ! hurlait-il.
    -Oh  Armin ! Sérieusement !
    -Ok ok j’arrête, bref que nous vaut l’honneur de ta visite au QG ? T’es pas censé avoir cours demain ?
    me lança-t-il perplexe.
    - J’aimerais que tu me trouves des infos sur comment ils ont su que j’étais avec vous. C’est dans tes cordes ?
    -Evidemment !
    s’indigna-t-il. Mais ça prendra un peu de temps, le temps que je perse la sécurité des pare-feu. Continue d’aller en cours et sois la plus naturelle possible en attendant, compris ?
    -Compris. »


    C’est ce soir-là, que j’ai compris que la bataille pour la liberté, venait de commencer et allait être longue, et difficile.


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